Contexte :
C’est couché sur le trottoir. On dirait une sculpture. Off-off-ex-post-moderne. On s’approche. Ça pue quand on s’approche, ¸a pu et ça remue, diable ! ça a des yeux. Ça tient un grand sac vert qui déborde de choses. On veut voir ce qu’il y a dans le sac. Ça jappe un peu quand on arrache le sac, heureusement ça ne mord pas . On ouvre le sac.
Ma fin :
Déboulent silencieusement jusqu’à la rue une bouteille remplie de scotch , des liasses de mille dollars , des pièces d’or et une petite photo d’une famille riche . Ça se lève debout , reprend ses choses et les remet dans son sac . Ça m’a serré la main . Ça m’a dit une phrase que je n’oublierai jamais : <<Les apparences sont souvent trompeuses, mon garçon>>. Ça voulait voir comment je réagirais. Ça était mon père que je croyais disparu.
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